Sans doute n’y a-t-il jamais eu autant de propositions différentes pour meubler son intérieur. Au point d’ailleurs qu’il devient bien difficile de faire les bons choix. Mais meubler son intérieur passe aujourd’hui d’abord par l’art de bien agencer ses espaces pour créer un habitat fonctionnel et beau, et par un travail de qualité. Décryptage !
Meubler son intérieur n’est pas une question de mode
Ici et là, chaque année, voire même plusieurs mois avant, il est habituel de découvrir comment nos intérieurs devraient apparaître pour rester actuels et dans les courants de l’instant. Ce que dévoilent encore diverses revues et catalogues. Admettons que, à l’instar de l’habillement, il puisse y avoir des effets de mode sur les tissus et les accessoires déco. Cela peut même être stimulant pour renouveler des ambiances et donner un nouveau tonus à notre cadre de vie.
Mais franchement, quand il s’agit de meubles… ce concept, symbole de la consommation à outrance et d’un certain gaspillage, n’est-il pas dépassé ? Cette façon assez récente et mercantile de vouloir mettre la mode de partout perturbe profondément notre vision d’un intérieur confortable, fonctionnel et agréable à vivre.
Quoi d’étonnant alors que, face à des changements incessants et sans grande cohérence, des personnes plus déroutées que sereines pour leurs choix se côtoient aujourd’hui : des adeptes de « meubles marrons à chapeau de gendarme », des régionalistes rivés aux styles de leur secteur, des accros de la mode qui changent tout et tout le temps, des possesseurs de pièces les plus insolites possible, et beaucoup de personnes qui achètent un peu de tout sans cohérence, ou du mobilier à très bas coût et plus ou moins « jetable », présenté comme « branché » ? Autant de visions qui ne se comprennent pas. On ne change pas de meubles ni d’intérieur comme de chemise. En France en particulier où, historiquement, le changement s’imagine, se réfléchit, se mûrit, sans brusquerie, triant le bon grain de l’ivraie, faisant par là même de notre patrimoine un trésor planétaire, changer de mobilier se fait dans la sérénité et le temps.
Du coup, au final, cette frénésie consumériste offre un résultat plus médiocre que positif. Beaucoup de personnes ne savent plus comment créer un intérieur qui leur correspond. Et le nombre de logements totalement sans charme et sans style, souvent au grand dam de leurs propres occupants, est impressionnant !
Il n’y a pas plus actuel que l’intemporel et le beau
À une époque où les considérations environnementales commencent enfin à initier moins d’achats compulsifs, ne faudrait-il pas au contraire parler d’ameublement durable ? Et renouer avec l’ancestrale habitude dans les intérieurs de poser des bases solides d’agencement et ameublement sur lesquelles peuvent ensuite varier les ambiances et décos au gré des humeurs ?
En tout cas, c’est ce que défend avec fierté Maison & Jardin Actuels depuis ses origines, préférant mettre en avant
- le talent des artisans,
- la splendeur des créations,
- l’ingéniosité des concepts,
- le confort sans cesse amélioré grâce au design,
- les savoir-faire français et ceux du monde…
- et l’art de proposer des belles pièces capables de traverser l’histoire et d’enrichir notre patrimoine.
Tout cela plutôt que la volatilité de styles qui changeraient sans cesse au gré de faiseurs de modes plus ou moins autoproclamés ! Tout cela aussi sans prôner des achats nécessairement coûteux, car la qualité et le durable peuvent aussi être à prix sages.
Oui, il existe des tendances, et c’est tant mieux ; à prendre ou à laisser d’ailleurs. Mais les plus grandes d’entre elles ne sont-elles pas finalement celles qui résultent de la créativité même des artisans et des créateurs, comme cela a toujours été le cas ? Connaisseurs des matériaux et des matières, de leurs limites, des alliances possibles, des techniques de mise en œuvre ancestrales ou qu’ils élaborent pour la circonstance, ils impulsent peu à peu des styles en étroite corrélation avec les désirs de leurs clients, les évolutions des modes de vie, et les nouvelles contraintes et exigences qui apparaissent dans les habitats.
Bien loin d’une industrie qui standardise massivement du meuble répondant à une mode éphémère, et qui réitère le processus pour chaque nouvelle « mode », mieux vaut donc regarder et valoriser le travail des artisans et des designers des petites unités de production, ces créateurs de concepts, de qualité, d’agencement et de tendances… durables ! Alors, intéressons-nous à la manière de penser agencement et ameublement.
Penser « évidence des circulations » et « fluidité »
L’agencement est l’une des plus grandes clés de la réussite d’un intérieur fonctionnel et lisible. C’est même l’un des éléments qui définit l’architecture même de l’habitat dans la construction neuve de qualité, puisque de lui dépend la facilité d’usage des lieux.
Un logement bien agencé est en premier un logement « évident » ! Pour le comprendre, rien ne vaut l’exemple de la cuisine qui est incontestablement l’espace ou la praticité d’usage est la plus indispensable, mais aussi la mieux connue, avec l’incontournable « triangle d’activité ». Ce dernier est défini par trois postes : l’évier, le(s) poste(s) de cuisson, le réfrigérateur. Chacun de ces postes doit être très facile d’accès et très pratique d’usage (avec des espaces de travail ou de pose associés), mais la distance entre ces trois postes doit aussi être assez courte et à peu près égale. Au poste évier correspond aussi le vide-ordures, le lave-vaisselle et divers produits ménagers. Au poste cuisson s’associent les ustensiles de cuisine et divers ingrédients alimentaires (épices). Près du réfrigérateur se retrouvent aussi les rangements des autres denrées alimentaires. Ainsi, cuisiner devient évident et facile.
De la même manière, il est souhaitable d’imaginer l’ensemble de l’habitat, en s’intéressant en priorité aux usages. Plus c’est logique, plus la circulation est facile et fluide dans l’espace, ce qui n’est pas rien quand il y a toute une famille qui y vit, et quand il y a des usages qui peuvent facilement se transformer en contrainte faute de logique ; par exemple, le bois de chauffage ou les granulés de bois ne peuvent pas être stockés loin du poêle ou de la cheminée. Si c’est le cas, il faut absolument prévoir un stockage intermédiaire près du point de chauffe.
Agencer c’est savoir revisiter son intérieur
Il est donc évident que l’agencement des logements existants, plus ou moins anciens, passe nécessairement par une véritable réflexion sur l’usage de chaque espace et sur les attentes profondes que l’on a de l’intérieur rêvé. Hormis les contraintes techniques liées aux éléments porteurs de l’habitat, difficiles et coûteux à modifier, beaucoup de modifications peuvent être apportées à un logement pour le rendre pratique, évident et beau. C’est typiquement ce que montrent d’ailleurs certaines émissions télévisées spécialisées ou des architectes d’intérieur résolvent concrètement les problèmes d’agencement.
En se libérant de l’usage « prédestiné » des diverses pièces, il est plus pratique de réorganiser l’espace, quitte à éliminer tout ou partie de certaines cloisons, à supprimer des portes, à élargir un espace en gagnant sur un autre, etc. Cela peut se révéler moins coûteux et surtout plus efficace que d’essayer de trouver des solutions sans rien modifier. Les entreprises spécialisées dans l’agencement créent ainsi de nombreuses solutions plus ou moins mobilières faciles à mettre en œuvre et surtout extrêmement bien pensées pour redéfinir de nouveaux espaces, ou pour signifier clairement les usages de chaque lieu. En usant de divers concepts (meubles cloisons, estrades rangements, escaliers rangements…) très maîtrisés, elles réalisent un sur-mesure particulièrement efficace et à prix très sage.
Créer l’espace ou l’intimité en pensant modularité
Le décloisonnement des habitats anciens est sans doute la plus grande transformation de ces trente dernières années dans la transformation de nos intérieurs. L’envie d’espace et de lumière y est pour beaucoup. Fi de la cuisine isolée. Fi de la salle à manger solitaire. Fi du salon. La pièce à vivre (bien curieusement nommée eu égard aux autres pièces de la maison qui sont tout autant… à vivre !) réunit tout dans un même espace puisque les habitudes de vie ont changé. On ne se « cache » plus pour cuisiner, et on ne reçoit plus dans un salon à part.
Mais ce décloisonnement a trouvé clairement ses limites, et nous sommes nombreux à ne pas savoir comment gérer et meubler ces grands espaces ! Problèmes d’odeurs persistantes de cuisine pour les uns, difficultés à créer une harmonie d’ensemble dans ce lieu unique et vaste pour les autres, ou manque d’identité des vocations de chaque espace… auxquels s’ajoute de manière évidente un manque certain de petits coins intimes pour mener des activités très différentes au même moment dans une même famille. Comment lire quand les enfants jouent ? Comment se concentrer pour travailler quand il y a la télévision qui fonctionne, etc. ?
Du coup, le « recloisonnement » s’impose à nouveau, mais les concepts proposés permettent de le faire avec brio, notamment grâce à deux belles solutions. Les verrières sont parfaites pour séparer la cuisine de la grande salle-salon. Elles permettent de contenir l’espace cuisine et ses contraintes (odeurs, bruits) sans isoler ceux qui l’utilisent. En plus, leur transparence est idéale pour garder la sensation d’espace tout en laissant passer la lumière. Leur « neutralité » esthétique est un atout supplémentaire pour décorer ou créer des ambiances sympathiques comme on le souhaite.
Quant aux cloisons mobiles, elles sont idéales, par exemple pour séparer ou non le salon de l’espace repas en cas de besoin. Mais elles peuvent aussi permettre de différencier une chambre d’un dressing ou d’une salle de bain, un bureau bibliothèque d’un salon, une chambre d’une pièce à vivre, etc. Elles sont incontestablement les meilleures solutions pour moduler l’espace selon les besoins et envies, et elles peuvent le faire avec beauté en apportant une réelle ambiance ou touche déco grâce à la créativité de leurs fabricants. Elles sont la clé pour jouer entre convivialité et intimité !
Connaître son propre désordre pour mieux être ordonné
Pour bien agencer son logement et pour bien se meubler, il est souvent essentiel de bien connaître et comprendre son propre désordre, et celui de tous les membres de la famille le cas échéant.
Le désordre est presque toujours la réponse la plus flagrante à un manque de praticité et d’évidence d’usage des lieux. Prenons pour exemple le cas de l’entrée.
Des chaussures qui « traînent » près de la porte d’entrée et des manteaux ou écharpes posées sur le canapé ou la première chaise venue traduisent par exemple l’absence de rangement facile près de la porte d’accès au logement. Il est vrai que, surtout pour une maison, entrer directement dans la salle principale en arrivant de l’extérieur est une aberration. Entrer avec des chaussures (et tout ce que les semelles portent en « microbes » et saletés), avec un parapluie mouillé ou avec des anoraks dans un salon ou une cuisine n’a pas de sens. Pas plus que de ranger ces derniers dans le dressing d’une chambre à chaque fois que l’on s’en sert, soit peut-être plusieurs fois par jour. Ce n’est pas hygiénique, c’est source de salissures et c’est rapidement très contraignant.
Si toutes les maisons ou presque possédaient une entrée autrefois, c’est précisément parce que cette dernière est en réalité indispensable. Parfois située sur la porte principale, parfois localisée vers une porte secondaire sous forme de buanderie par exemple, l’entrée est l’espace très pratique où tout ce qui s’utilise ordinairement pour sortir est rangé, du panier à course aux parapluies, des chaussures aux clés de voiture…
Quand cette entrée n’existe pas ou plus, il est facile d’en recréer une, même partiellement, grâce à des agencements et meubles très bien pensés à cet effet, intégrant le vide-poche, le point de rechargement des smartphones, le placard bas pour les enfants, la penderie pour les adultes, un grand miroir, le placard à chaussures, une banquette pour mettre ou enlever ces dernières, un porte-parapluie, et pourquoi pas même des accessoires pour faire le ménage.
Ce raisonnement sur l’entrée s’applique à d’autres problèmes de désordre en désignant l’absence de solution à des usages courants (manque de rangements facile pour les jouets des enfants, absence de bureau ou coin bureau, inexistence de buanderie, mauvais emplacements de divers rangements, etc.)
Une place pour chaque chose et chaque chose à sa place
Voilà un principe qui, usité depuis de nombreuses années, garde toujours pleinement son sens et son intérêt. C’est un peu le rêve conscient ou non de chacun d’entre nous qui souhaite trouver immédiatement ce qu’il cherche.
Bien évidemment, pour y parvenir, il faut avoir les bons meubles, les bons rangements. Un regard sur l’histoire des intérieurs nous montre à quel point ces meubles ont existé et ont permis de tout ranger comme il faut au travers des époques : des papiers aux armes, des secrets aux vêtements !
Mais alors… pourquoi ces solutions n’ont-elles que peu survécu aux temps récents, après avoir été utilisées durant des siècles ? Adieux les secrétaires, les bonnetières et les vaisseliers. Adieux commodes (les si bien nommées d’antan avec leurs tiroirs) et buffets, penderies et dessertes ! En réalité, si tous ces meubles emplissent les salles des ventes sans grandes chances de trouver acquéreur, malgré leur excellente qualité et leur esthétique souvent très travaillées, c’est que tels quels ils ne conviennent plus vraiment aux espaces actuels. Ces « gros » meubles ne sont plus adaptés aux architectures actuelles, neuves ou restaurées, ou seulement avec parcimonie.
Mais leur usage persiste ! D’ailleurs, la mort annoncée de ces meubles ne se produira sans doute pas, fort heureusement, car ces magnifiques créations d’artisans talentueux bénéficient de plus en plus « un regain d’intérêt à l’heure ou reconversion, recyclage et homme staging s’imposent pour satisfaire notre envie de moins de gaspillage et plus d’authenticité. Il suffit souvent de les repenser pour les rendre à nouveau utiles (supprimer les portes pour tout voir d’un seul regard, agencer différemment les étagères et tiroirs, combiner plusieurs parties de meubles différents, ou n’utiliser qu’une partie d’un meuble en éliminant les autres…).
Des meubles et rangements multifonctionnels
En effet, aujourd’hui nous ne cachons plus comme autrefois toutes nos affaires derrière des portes. Pour que chaque chose trouve sa place et soit rangée, il faut très souvent qu’elle reste malgré tout visible, et qu’elle soit immédiatement accessible. D’où le succès des étagères en tous genres et des modules de rangement qu’elles ont inspiré.
Étagères à épices, à vaisselles, à livres, à produits de beauté… permettent de voir et de sélectionner ou ranger instantanément chaque objet souhaité. Pour autant, beaucoup de personnes reviennent au principe des rangements cachés, au moins dans certaines pièces, afin de s’offrir un cadre de vie qui soit orienté vers le rêve, l’évasion, l’art… plutôt que les objets usuels et les “contraintes” du quotidien.
Les concepts de rangement actuels sont à ce titre formidables à cet effet. Dans un même module, on retrouve judicieusement organisés tous les usages des meubles anciens, mais en plus fonctionnels, grâce à mille astuces techniques. La cuisine et la salle de bain en proposent d’ailleurs les plus beaux exemples avec des portes et tiroirs qui se ferment seuls en douceur, des intérieurs de placard et des miroirs qui s’éclairent, des plateaux qui tournent et des rangements pivotants qui révolutionnent les dessertes, des casiers prévus pour chaque objet…
Quoi de plus pratique et ingénieux qu’un meuble à chaussures constitué de plateaux pivotants superposés ? Un ou deux plateaux par personne, avec quatre à six cases par plateaux (une par paire de chaussures), et en un tour de main vous choisissez ce dont vous avez besoin. Et si vous êtes accros aux chaussures, une seule tour de rangement vous permet d’accéder à vingt-cinq, trente ou cinquante paires, parfaitement rangées, mises en valeur et accessibles dans un espace extrêmement réduit !
Savoir faire la part entre l’usage et l’art
Finalement, après les questions d’agencement et de rangement, aujourd’hui très faciles à résoudre grâce aux nouveaux concepts que des professionnels expérimentés nous proposent, se posent d’autres questions d’importance : comment concilier l’usage et l’esthétique ? Qu’est-ce qui doit être prioritairement fonctionnel avant d’être beau ? Qu’est-ce qui peut être très beau et très fonctionnel ? Et pour quel budget bien sûr ?
Nul ne peut le contester, un très beau meuble qui ne sert à rien ou qui complique beaucoup l’usage auquel il est normalement prévu est sans intérêt sauf pour un collectionneur ou pour des personnes qui souhaitent en faire un réel objet déco à part entière. Les très nombreux beaux meubles d’antan, souvent des chefs-d’œuvre d’ébénistes et de sculpteurs, ont beaucoup disparu justement pour cette raison.
Pour trouver le juste équilibre entre le très beau et le très fonctionnel, mieux vaut souvent faire un double choix : adopter des rangements discrets ou à l’esthétique sobre, mais très bien pensés, d’une part, et concentrer la quête du très beau sur des meubles plus “visibles”, avec une certaine parcimonie pour pouvoir les mettre en valeur au mieux.
Tables et chaises, par exemple, ont des usages simples et sont incontournables. Elles s’exposent inévitablement dans l’habitat. Alors, autant les choisir avec soin pour en faire des éléments forts du décor. Les créateurs savent faire de ces objets usuels de très belles pièces. Il en va de même avec les petits meubles, d’appoint ou non, et avec les canapés et fauteuils.
La réponse se trouve souvent dans le sur-mesure et l’artisanat
Le choix des dimensions est fondamentalement une des raisons majeures qui justifie le sur-mesure dans le cadre de l’agencement et de l’ameublement. Pas une maison, pas une pièce, n’est semblable à d’autres, et force est de constater qu’aménager ces espaces avec du mobilier et des objets de taille standard n’est pas toujours évident. Soit vous trouvez le bon volume, mais ce sont les couleurs, les finitions et l’aspect général qui ne vous plaisent pas, soit vous avez un coup de cœur pour un objet ou un mobilier qui… ne convient pas vraiment à l’espace qu’il est censé occuper. Le sur-mesure porte en lui la clé de l’optimisation de l’espace et permet d’obtenir exactement l’ordre désiré.
L’ébéniste peut être à l’avant-garde de la création, et certains artisans se spécialisent dans la réalisation d’agencements et mobiliers contemporains, pour les bureaux, chambres, bibliothèques, salle à manger, dressing… et pour créer des cuisines uniques, toujours avec ce souci constant du fonctionnel durable. D’autres créent des pièces d’exception, des meubles rares, uniques, audacieux pour certains… de vrais objets d’art. En bois, bien sûr, ou associé à d’autres matières et matériaux (résine, verre, inox…). Mais l’usage du métal dans l’ameublement est également ancien en ayant aussi su se moderniser. Outre l’acier et le corten, de nombreux créateurs s’essaient aussi à d’autres métaux, l’inox par exemple. Des matières comme le verre ou comme l’Altuglas, souvent cité sous le nom de plexiglas (Plexiglass est le nom commercial d’un autre verre synthétique plutôt utilisé dans le bâtiment), sont également possibles. Mais ce qui compte avant tout c’est ce que les artisans en font pour vous proposer de très belles réalisations !