VINITEM : le révélateur d’arômes pour une dégustation de vin réussie

Boire un verre de vin est toujours un moment de découverte, de partage et de convivialité…
Pour magnifier cette expérience sensorielle, la société Vinitem, fondée par Christine Garcia en 2015, a conçu l’aérateur de vin : un produit breveté et made in France, qui permet de révéler tous les arômes du vin dès l’ouverture de la bouteille, pour une dégustation de vin optimale.

L’aération du vin : une étape indispensable pour une dégustation dans les meilleures conditions
La plupart des vins jeunes, en particulier ceux qui ont moins de 5 ans, nécessitent une aération préalable avant d’être consommés. Au contact de l’air, le vin va libérer les arômes ainsi que toutes les mauvaises odeurs qui peuvent altérer son goût. Une fois aéré, s’il s’agit d’un vin rouge tannique, son âpreté est dissipée. Pour un vin blanc minéral: ses arômes fruités sont décuplés.

L’aérateur VINITEM, un révélateur d’arômes instantané !
Déguster un vin, c’est tout un art… qui s’apprend ! Parce ce que l’aération d’un vin jeune est un préambule important, une condition essentielle pour en apprécier toutes ses subtilités, Vinitem a créé l’aérateur de vin.
Le prototype, conçu dans le laboratoire GINOVA et AIP-PRIMECA Dauphiné-Savoie (plateforme de l’Institut Polytechnique de Grenoble) est une véritable innovation scientifique dans le monde de l’oenologie. Il s’adresse à tous les amateurs de vin, aux professionnels, aux épicuriens et à tous ceux qui souhaitent offrir un cadeau de prestige.
Le vin est versé directement à travers l’aérateur, qui crée 2 effets physiques (effet Coriolis et effet Venturi). Il s’écoule dans un premier temps dans le plot hélicoïdal (appelé aussi révélateur) et lors de l’écoulement, il crée une légère turbulence (effet Coriolis). Cette action permet de libérer graduellement les molécules du vin (pour qu’elles restent en bouche). Le vin se glisse dans une cavité où l’air et le vin vont se mélanger grâce aux entrées d’air des tubes creux diagonaux (effet Venturi).  

Les caractéristiques de l’aérateur Vinitem
L’aérateur Vinitem, « 100 % made in France » (pour vin rouge et vin blanc) se caractérise par son design innovant en forme d’amphore : un clin d’oeil à l’histoire romaine et à l’époque où le vin était conservé et transporté dans des amphores.
D’apparence translucide, l’aérateur se pose au-dessus d’un verre à vin ou d’une carafe. Il est conçu en polymère cristallin, un matériau hautement résistant, très utilisé dans l’art de la table et dans l’optique.

Le vin, une affaire de sens…
Le palais « s’éduque » ! Plus qu’un moment de plaisir, déguster une bouteille de vin, c’est aussil’occasion d’affiner ses sens et de s’immerger dans un nouvel univers d’arômes et de saveurs…
Et il existe des méthodes ludiques pour les néophytes pour mieux comprendre les mécanismes sensoriels de la dégustation, grâce à quelques règles simples.
Celles-ci reposent essentiellement sur les récepteurs olfactifs et gustatifs qui vont capter les sensations avant de les transmettre au cerveau.
« Sans la participation de l’odorat, il n’y a point de dégustation complète » disait Anthelme Brillat-Savarin, un gastronome français du 18ème siècle.

En effet, le goût et l’odorat sont des sens intimement liés, qui nous permettent de percevoir les arômes.
Le corps humain possède près de 10 000 papilles gustatives permettant de déceler jusqu’à 1000 milliards d’odeurs différentes !
Une fois qu’un aliment est dans la bouche, des substances sapides sont libérées, grâce à la salive, pour en révéler son arôme.
Les sapides vont ensuite interagir avec les récepteurs gustatifs situés dans la langue appelés papilles.
Ces récepteurs sensoriels vont envoyer des signaux au cerveau pour interprétation.
La recherche d’arômes et de senteurs est un exercice qui fait appel à notre mémoire… Plus elle est stimulée et sollicitée, plus elle permet de nous prémunir des maladies neurodégénératives.
Les maladies qui peuvent altérer notre aptitude à identifier le goût et les odeurs sont l’agueusie (goût) et l’anosmie (l’odorat).

L’art de la dégustation d’un vin, un apprentissage progressif… 
On distingue trois principales étapes dans la dégustation.
Le premier contact avec un vin est d’abord visuel : l’oeil permet de déterminer le taux d’alcool ou de sucre, sa jeunesse et sa robe.
Le 2ème est olfactif : on plonge la 1ère fois son nez dans le verre (1er nez), on essaie de distinguer les arômes primaires.
On aère le vin en le tournant légèrement dans le verre, puis on plonge à nouveau son nez (2ème nez) pour déterminer les familles d’arômes (fruité, floral, minéral, épicé, boisé).
Le 3ème est gustatif : une fois en bouche, on peut apprécier toutes ses saveurs et sa texture.

Par ailleurs, en essayant d’analyser ses caractéristiques de goûts, on apprend un peu plus sur le travail complexe du vigneron. En effet, c’est lui qui détermine quels cépages vont être mélangés.
Le cépage est une variété de vigne qui, en fonction de ses caractéristiques, va conférer un parfum et un goût différent au vin. Le terroir viticole sur lequel la vigne est cultivée est tout aussi déterminant.
Chaque terroir est unique et correspond à un type de sol, un climat et une zone géographique précise : autant de facteurs qui vont influencer la qualité des vendanges.

Plus d’informations sur http://www.vinitem.fr

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